Elections municipales

Candidat à la mairie

Quentin Colombo

2000 – Educateur social HES

Quentin Colombo, né le 25 octobre 2000 (21 ans), éducateur social HES, candidat à la mairie de Saint-Imier.

Quentin Colombo, né le 25 octobre 2000 (21 ans), éducateur social HES, candidat à la mairie de Saint-Imier. Je travaille actuellement dans un foyer semi-ouvert pour mineurs. Les jeunes que j’accompagne ont entre 14 et 18 ans  et sont placés dans ce foyer soit par jugement pénal ou par l’autorité de protection de l’enfance. J’ai l’habitude de travailler avec des contraintes pratiques et techniques, un budget et des délais à respecter. Les attentes que l’on a envers mon travail sont souvent élevées et variées. Je travaille avec des jeunes qui sont dans une phase compliquée de leur vie et qui sont le plus souvent instables psychologiquement et socialement. Mon travail consiste à leur donner ce dont ils ont besoin pour résoudre leurs problèmes et à les soutenir dans leur développement. Pour ce faire une méthodologie de travail m’est essentielle. Elle pourrait se résumer ainsi, tout d’abord observer et écouter afin de cerner les différents problèmes qui se posent. Après cette phase d’observation il me faut comprendre les causes des problèmes en question. Une fois les causes identifiées, il  faut à présent agir. Pour ce faire il est important de respecter plusieurs pricipes dont notamment, la proportionnalité et les contraintes propres à chaque situation. Il ne me reste plus qu’à gérer l’évolution de la résolution des problèmes et veiller à la bonne application des indications que j’ai données. Je pense que ma méthode de résolution est propre à résoudre un grand nombre de problèmes dont ceux qu’une commune pourrait observer. Je n’ai pas peur des responsabilités et m’engage à toujours donner le meilleur de moi-même.

Je joue au Rugby depuis 13 ans et ce sport a été pour moi une véritable école de vie. J’y ai appris que le respect était une valeur fondamentale de notre société et c’est une valeur qui selon moi doit primer dans chaque rapport social de la vie de tous les jours. Au rugby le respect se concrétise par le respect de ses co-équipiers, le respect de ses entraîneurs mais également le respect de ses adversaires, de l’arbître et de ses décisions. Je suis pleinement investi dans la vie sociétale de mon club de Rugby et l’engagement constitute un point très important de ma personnalité. La mentalité du rugby est basée sur l’entraide et le dépassement de soi. L’objectif étant d’utiliser les ressources fortes d’une équipe afin de faire évoluer les plus faibles et de leur apporter de la confiance en eux. L’esprit d’équipe est une valeur qui caractérise toutes mes actions. À mon sens rien n’est plus beau que de travailler ensemble pour un but commun. Dans la vie je crois qu’il faut tenter, essayer pour parfois tomber mais immédiadement se relever et continuer d’avancer. Jamais rien n’est perdu d’avance.

J’ai également suivi une formation d’arbitre chez SwissRugby et je suis titulaire d’un diplôme d’arbitre World Rugby depuis 2016. J’arbitre dès lors des matchs de toutes les ligues suisses. Ce travail m’a permis de faire évoluer certaines de mes capacités dont notamment mon aptitude à la prise de décisions rapides et justes. Je dois pouvoir être ferme lorsqu’il est nécessaire en restant ouvert et cordial. Je dois savoir prendre ma place entre deux équipes rivales et me faire respecter de tous, même des plus ardents supporters. J’ai notamment pu m’exercer dans des matchs à gros enjeux tels que des finales de ligues où la pression est à son comble. Se faire respecter d’un joueur qui joue depuis près de 40 ans au rugby est, du haut de mes 21 ans, un défi majeur. Je dois donc prendre des décisions à la fois justes et équitables qui soient conforment aux règles du jeu. Je conçois le poste de maire comme étant un travail semblable à un arbitre sur un terrain. C’est en ce sens que je pense avoir toutes les qualités requises à l’accomplissement de ce travail.

Si aujourd’hui je désire devenir maire de Saint-Imier, ce n’est pas pour faire office de candidat alibi. Je désire apporter ma fraîcheur et mes aptitudes à un poste qui peut paraître vieillissant et inaccessible à la jeunesse imérienne. Je désire apporter un élan de renouveau, des valeurs sociales et vertes à la petite ville qui m’a vu grandir et où j’ai eu la chance de me former jusqu’à l’obtention de ma maturité professionnelle au Ceff santé social. L’industrie, horlogère entre autres, fait partie intégrante de l’histoire de notre belle région. Il est important pour moi de défendre le travail de nos ouvriers tout en valorisant l’implantation de nouvelles entreprises. Aujourd’hui plus que jamais, notre société a besoin d’une vision d’avenir. Ma vision pour la municipalité de Saint-Imier est de devenir un modèle social et écologique pour le Jura bernois. Suite au départ de Moutier, Saint-Imier doit devenir une capitale régionale, un centre de formation d’importance cantonale et un pôle d’innovation à l’échelon fédéral.

Candidats au conseil municipal

Théo Brand

2000 – Etudiant en droit

Théo Brand, né le 19 avril 2000 (22 ans), étudiant en droit (3ème année) à l’université de Neuchâtel, candidat au conseil municipal de Saint-Imier.

Théo Brand, né le 19 avril 2000 (22 ans), étudiant en droit (3ème année) à l’université de Neuchâtel, candidat au conseil municipal de Saint-Imier. J’étudie actuellement le droit, une matière qui me pationne. Le droit est pour moi le tissu d’une toile qui petit à petit s’étoffe afin de devenir le cartillage de notre société. Dans le léviathan, livre paru en 1651, Thomas Hobbes, philosophe anglais du 17ème siècle, nous informe que la plus grande fonction de notre société est de permettre à chacun de pouvoir vivre sa vie tout en garantissant nos droits fondamentaux. Il y a selon moi deux façons de vivre en société. La façon qu’ont les rats de vivre ensemble et la façon qu’ont les éléphants de vivre ensemble. Lorsqu’un rat tombe malade, il est immédiatement exclu du groupe de rats, c’est un mécanisme primaire de survie afin de pas contaminer tous les rats. Chez les éléphants la situation est toute autre. Lorsqu’un éléphant meurt, les autres membres du groupe restent plusieurs jours autour du corps de l’éléphant mort, comme pour faire un deuil et lui rendre hommage. Si l’on juge une société en fonction du traitement accordé à ses membres les plus faibles, je me sens d’un naturel beaucoup plus pachidermique que murin. La solidarité est un fondement essentiel à toute société qui se respecte et je désire proposer à la population une politique solidaire, juste et écologique.

Ayant été conseiller communal de mon ancien village, Courtelary, je pense avoir une idée de ce que peut représenter les tâches et obligations d’un conseiller municipal à Saint-Imier. Mon expérience politique ayant été pour moi une révélation, je désire proposer ma candidature au peuple imérien afin de pouvoir à nouveau œuvrer dans l’intérêt public de mon lieu d’habitation. Je suis très attaché à Saint-Imier, à son vallon et au Jura bernois de manière générale. Je désire mener une politique centrée sur les défis écologiques et sociaux que nous aurons à relever ces prochaines années. Nous sommes aujourd’hui en plein changement climatique et personne ne sait de quoi demain sera fait. Partant il est essentiel de se préparer au mieux face aux diverses menaces qui se profilent à l’horizon.

J’ai eu la chance inestimable de grandir au sein d’une famille remplie d’animaux, en plus de deux trois personnes fréquentables telles que mes parents et grands-parents. Non je n’ai pas la force de Tarzan mais je m’efforcerai de préserver le bien-être animal qui constitue à mon sens, une intime évidence. Je pense à contrario que nous sommes toutes et tous omnivores et qu’il convient de manger sainement en n’excluant pas la viande de notre régime alimentaire. La vie est remplie de paradoxes et ce n’est qu’avec le compromis et le bon sens que nous pourrons avancer ensemble afin de faire progresser notre société. Je désire me battre afin de valoriser les produits de nos producteurs locaux, les circuits courts étant selon moi une solution à beaucoup de maux sociétaux tel que l’inflation. J’ai toujours vécu très proche du monde agricole. Par le métier de mon papa qui est importateur et commerçant de chevaux, je me suis sensibilisé à la condition de vie de nos producteurs. L’agriculture est un thème qui m’est cher et je désire m’investir afin de trouver des solutions locales aux problèmes des agriculteurs tels que la dévalorisation constante de leurs produits et les conséquences du changement climatique.

Mon papa est une réelle source d’inspiration pour moi. Il m’a inculqué des valeurs de travail et de réussite afin de pouvoir être fier de ce que l’on accomplit. Il n’a cessé de me répéter qu’il ne sert à rien de faire les choses à moitié. Cette façon de penser m’est devenue une devise de vie. Je suis quelqu’un de consciencieux, quasi perfectionniste, qui met un point d’honneur à toujours satisfaire aux exigences qui me sont demandées.  Mon papa m’a également appris à monter à cheval et je suis cavalier depuis l’âge de 3 ans. L’équitation représente ma grande passion. Les chevaux vous apprennent énormément de choses sur la vie. Pour ma part j’ai appris que le respect est une valeur essentielle. Dans la vie comme en équitation, je me remets constamment en question. L’important pour moi n’est pas d’avoir raison mais de chercher la solution la plus juste. Aujourd’hui plus que jamais nous devons mener une politique scientifique basée sur les évidences de l’avancée de la recherche. Saint-Imier doit devenir un oasis écologique producteur d’énergies. Nous devons valoriser les entreprises qui désirent s’installer à Saint-Imier tout en nous battant pour améliorer les conditions de vie des ouvriers qui y travailleront. Saint-Imier doit promouvoir la rénovation énergétique des vieux bâtiments privés et publics de son agglomération. La récupération des eaux de pluie doit être l’une de nos priorités. Prenons un virage politique déterminé afin d’affirmer Saint-Imier comme pionnière de l’innovation écologique et sociale.

Olivier Zimmermann

1963 – Formateur en entreprise

Olivier Zimmermann, né le 12 octobre 1963 (59 ans), formateur d’adultes dans une grande Manufacture horlogère de la place biennoise, candidat pour un deuxième mandat à l’exécutif imérien.

Olivier Zimmermann, né le 12 octobre 1963 (59 ans), formateur d’adultes dans une grande Manufacture horlogère de la place biennoise, candidat pour un deuxième mandat à l’exécutif imérien.

Pour un ancien qui se représente, il est sans doute de bon aloi de présenter son bilan.
J’ai presque envie de dire que les deux premières années comptaient pour ‘’beurre’’, tellement il y a d’informations à emmagasiner, à découvrir. Le fonctionnement des administrations, l’inertie de ces mêmes administrations, les lois, les normes, comprendre de quoi on nous parle, de s’improviser du jour au lendemain expert de son domaine… Au moment où tu commences à te dire : les choses deviennent plus claires, je commence à gérer mes dossiers et comprendre les rouages de l’administration, 4 ans sont passés et la question se pose : faut-il continuer ? Terminer les projets initiés lors de cette législature ! Passer la main ! Après quelques temps de réflexion, je me suis dit que j’avais encore envie de donner de mon temps et de mon énergie pour la collectivité.

J’aimerais mettre en avant la très bonne collaboration au sein de l’exécutif lors de cette dernière législature même si certaines fois les discussions furent animées. Nous avions la maturité nécessaire pour se dire les choses avec respect et de rester constructif pour le bien de la collectivité.
Bien qu’ayant déjà exercer cette fonction dans un autre exécutif, je ne m’attendais pas à autant de sollicitations. Entre les différentes commissions, conseils d’administration, représentations, conférences de presses, conseil de ville et municipal, il ne faut pas minimiser le temps qu’il faut investir pour pouvoir accomplir cette mission avec efficacité.

Dans les évènements marquants de cette législature, je retiens la fermeture de la piscine suite à une fuite de chlore. Une décision délicate à prendre quant à la fermeture complète de l’installation qui survient en début de saison. Un arrangement avec les autorités (que je remercie encore) de Tramelan nous a permis d’offrir une alternative aux utilisateurs. La démission du maire a été un autre moment marquant pour moi. Déjà par le fait de perdre quelqu’un que j’appréciais mais aussi le questionnement qui s’est très vite posé, comment je vais pouvoir absorber ses activités en plus de celles que j’ai déjà et quand est-ce que je vais pouvoir le faire ? Heureusement que cet intérim ne fut pas trop long. J’en garde une expérience enrichissante.
Dans les actions terminées, je peux mettre en avant les mises aux normes et assainissement du Centre de Culture et de loisirs ainsi que de la salle de spectacle. Finaliser le dossier de l’assainissement du complexe halle de gym (en grande partie assumée par mon prédécesseur que je salue et remercie au passage).
Certains autres dossiers sont en bonne voie de finalisation, je peux mettre en évidence les thèmes suivants : la réorganisation du service Bâtiments et infrastructures sportives avec l’établissement de cahier des charges pour tous les collaborateurs. La mise aux normes et assainissement de l’école primaire et pour conclure, un dossier qui va débuter courant fin du mois de septembre, début octobre, l’assainissement de la piscine extérieure.

Les prochains dossiers à venir en cas de renouvellement de mandat
Mener à terme les dossiers :

  • Réorganisation du service, le dossier école primaire et celui de la piscine plein air
  • Assainir et réaménager de dépôt des Travaux publics
  • Proposer un projet pour l’école secondaire
  • Trouver une solution pour les bâtiments du patrimoine financier
  • Créer un espace jeux pour nos jeunes (style pumptrack)
  • Lancer le projet de pose de panneaux photovoltaïques sur la patinoire (dans le cadre d’Erguel Sport SA)
  • Intégrer la dimension écologique, renouvelable dans tous les dossiers (pas seulement au niveau du service Bâtiments mais au niveau de tous les services communaux) pour le bien des générations futurs et par soucis d’économie (énergie, argent, etc.)
  • Avant tout de continuer d’œuvrer au mieux pour la collectivité au plus près de mes convictions et des besoins de chacun.

J’aimerais pour conclure, ne pas oublier de remercier : la cheffe et les collaborateurs du service Bâtiment et infrastructures sportives ainsi que tous les employés communaux pour le travail qu’ils accomplissent au quotidien. Sans eux, rien ne serait possible.

Candidats au conseil de ville

Mélanie Lambert

1979 – Employée polyvalente dans la cosmétique naturelle

Donnons un avenir serein aux futures générations.

Mathilde Ruchonnet

2000 – Monitrice d’éducation canine

Pour un vallon uni, solidaire et écologique.

Nicolas Pagani

1975 – CFC Paysagiste

Réinsertion n’est pas juste un mot, c’est la volonté d’aider !
Celui qui veut peut !
Mais pas sans outils et sans soutiens.

Sandra Carnal

1965 – Réceptionniste

Imérienne pour toujours.

Michel Ruchonnet

1955 – Médecin généraliste

Critiquer sans rien proposer ne sert à rien.

Elisabeth Beck

1967 – Enseignante et membre du CJB

Engagée pour une politique courageuse, honnête et innovante, gage de bonnes perspectives pour toutes et tous.

Sylvain Ndonfack

1978 – Contrôleur qualité

Demain c’est un autre jour, viens avec moi construire notre vallon.

Pepe Gerolamo

1964 – Concierge (maître de glace)

Pour une société équilibrée.

Mouloud Zahzouh

1965 – Employé

Ensemble tout est possible.

Marie Ruchonnet

1996 – Etudiante master à l’UNINE

« La discorde est le plus grand mal du genre humain, et la tolérance est le seul remède. » Volotaire

Isabelle Gambetta

1971 – Ingénieure forestière

Garantir les ressources pour les jeunes générations.

Diamantino Rodrigues

1957 – Horloger

La continuité des relations fondées sur la bonne foi.

Vital Carnal

1964 – Employé CFF

Une politique pragmatique pour le bien-être de chacun.

Romain Santoro

Responsable manifestation

Loïc Springenfeld

1998 – Consultant informatique
Responsable site web

« Il n’y a pas de problèmes, il y a seulement des solutions désagréables. » Alexandra Marinia

Aline Ruchonnet

1969 – Experte aux examens
Présidente PSE – presidence@ps-erguel.ch

Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.

Mélanie Lambert

1979 – Employé polyvalente chez Natur’Mel
Vice-résidente PSE – vice-presidence@ps-erguel.ch

« Le moment présent a un avantage sur tous les autres: Il nous appartient ! » Charles Caler Colton

Aline Ruchonnet

1969 – Experte aux examens
Présidente PSE – presidence@ps-erguel.ch

Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin.

Mélanie Lambert

1979 – Employé polyvalente chez Natur’Mel
Vice-résidente PSE – vice-presidence@ps-erguel.ch

« Le moment présent a un avantage sur tous les autres: Il nous appartient ! » Charles Caler Colton

Romain Santoro

Responsable manifestation

Loïc Springenfeld

1998 – Consultant informatique
Responsable site web

« Il n’y a pas de problèmes, il y a seulement des solutions désagréables. » Alexandra Marinia

Romain Santoro

Responsable manifestation

Loïc Springenfeld

1998 – Consultant informatique
Responsable site web

« Il n’y a pas de problèmes, il y a seulement des solutions désagréables. » Alexandra Marinia